C’était donc dans les années 2020’. 2024 peut-être.
Ou une autre date encore…
En tout cas, la chose n’était pas banale : nous avions en effet égaré l’une des couleurs de notre arc-en-ciel. Qui plus est, de celles qui font la différence.
Dont l’absence est palpable.
Dissoute ? Délavée face à trop d’antagonismes/une planète exsangue/des conflits confondants ? Où pouvait-elle se cacher.
Chacun se mit bien à chercher.
Chacun se mit à semer aussi, à partir de graines immanentes, dont certaines logeaient en soi.
Pourtant, quand jaillirent les premières flammèches aux nuances pleines d’espoir,
celles-ci semblèrent si… vulnérables. Si frêles, malgré leur détermination.
Et c’est de leur addition, de leur complétion, que ressurgit finalement cette couleur qu’on avait cru perdue, consumée avec les poutres de Notre-Dame ou enfouie dans les terres en guerre.
Pure. Triomphante, malgré les obstacles.
Nous recouvrions ainsi chacune des nuances de la joie.
Une joie rebelle face à l’adversité.
Carburant immémorial de notre pouvoir d’agir et de rayonnement.
Mais une fois l’absente retrouvée, pour ne plus revivre pareil évènement,
il fut imaginé de célébrer cette fugitive en chaque début de journée, de réunion, de sommet, etc. : elle avait trop manqué.
Pierre blanche dans notre histoire ; année mémorable que celle de sa mise en œuvre, était-ce… 2025 ? #Et pourquoi pas ?
#CParti ! #Réveiller la Joie #Qu’est-ce qui dépend de nous ?
#La joie comme pouvoir d’agir et de rayonnement
-Il y a une admirable énergie
dans l’obstination de la douceur- Platon
